Je quitte à regret Laurence au gîte "Lou Parralhou" pour aller à Nogaro, à travers les vignes et par des chemins creux fort agréables. Chemin faisant, je rencontre Michèle et nous faisons route ensemble pendant plus d'une heure. Ancienne institut, elle a quitté l'éducation nationale à 50 ans pour reprendre des études sur l'art et la théologie notamment. Très érudite, elle me fait partager ses connaissances historiques mais aussi un petit peu de sa vie...Une rencontre pleine de sincérité et de retenue. Bref, un moment comme je les aime.
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| Café et rafraichissements à volonté |
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| Michèle de Pau |
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Laurence devant son gîte
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La matinée est agréable et le soleil, un peu fainéant en début de rando, commence à nous chauffer sérieusement la tête.
Nous sommes dans le sud-ouest comme en témoigne l'architecture des habitations et la présence nouvelle des lieux dédiés aux courses de vaches landaises, voire aux combats des taureaux. En bref, des arènes, quoi!...
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| Un peu kitch ou m'as tu vu le portail, non? |
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| Le méridien de Greenwich en plein dans les vignes |
Arrivée à Nogaro à 13 heures après une étape sans histoires. Nogaro est réputé pour son circuit automobile situé à proximité de notre gîte. J'y vais donc y faire une promenade et j'y assiste à des courses de Peugeot 208.
Le soir, je partage mon repas avec Elaine, mon américaine rencontrée hier et Andréas, un allemand fort sympathique qui est pédiatre. Nous parlons alternativement en français, allemand et anglais. Ce n'est pas triste. Mais le floc d'Armagnac aidant, nous y arrivons de mieux en mieux plus la soirée s'avance...
faudrait quand même pas abuser de l alcool quand même. On pourrait peut etre essayer cette méthode de décontraction linguistique pour nos chers petits écoliers !!. ( si ma fille lisait cela elle me fâcherait). Toujours aussi intéressant ton récit qui balaie les cotés humains spirituels et architecturaux. Bonne route. Chris
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